Gnudi de Ricotta et tomates rôties

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Si vous ne connaissez pas Aran Goyoaga vous pouvez aller tout de suite faire un petit tour sur son site ou son Instagram, tout y est beau, délicat, savoureux. On s’imagine facilement passer des heures dans sa cuisine. Ses images sont magnifiques et ses recettes, du moins celles que j’ai testées, sont toujours délicieuses. Bref j’adore. L’an dernier, l’enfant n˚2 m’a offert le livre Cannelle et Vanille d’Aran, après m’avoir entendu dire au moins un millier de fois que même si je ne voulais plus acheter de livres de cuisine je craquerais peut être une dernière fois pour celui là. Un super cadeau, merci encore enfant. Je n’en ai pas encore fait toutes les recettes, et je ne les ferai probablement pas. C’est comme ça, je ne teste pas tout, je me délecte souvent simplement avec les images. Mais cette recette là, j’ai tout de suite su que j’allais la faire. D’abord parce que j’adore la Ricotta et puis elle semblait être la petite soeur monochrome de la recette de gnocchi à la ricotta et aux épinards que j’aime tant faire.

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Comme souvent pour les choses qui deviennent ensuite des habitudes, j’ai pris mon temps mais j’ai fini par plonger dans la douceur des ces gnudi et je n’ai encore une fois pas été déçue. Tout était parfait, rien a ajuster et succès total chez toutes les papilles de la maison. Je n’ai quand même pas pu résister à l’envie d’ajouter quelques feuilles de sauge ciselées au mélange mais c’était plus pour le look que pour le goût et si vous n’en avez pas ce n’est pas grave. Encore une fois, ce n’est pas une recette extra compliquée, mais il faut quand même prévoir un peu de temps devant soi pour la faire puisque la préparation des Gnudi nécessite un petit passage au réfrigérateur et que le façonnage peut être un peu long. Ceci dit, chaque étape en vaut la peine. C’est fou comme l’association d’ingrédients simples peut aboutir à un résultat si raffiné. Et puis visuellement, le contraste du blanc tout doux et délicat des gnudi associé au rouge vitaminé plein de saveurs des tomates légèrement caramélisées ça fait vraiment son effet. Quelque chose d’aussi agréable à regarder qu’à savourer.

Gnudi de Ricotta et tomates rôties.

Pour les Gnudi

• 454 g de ricotta
• 55 g de parmesan frais râpé
• 1 oeuf légèrement battu
• 1/4 de c. à café de sel
• 1 pincée de noix de muscade moulue
• 70 g de farine de riz (plus pour saupoudrer)
• 55 g à 80 g de fécule de maïs (originalement fécule de pommes de terre)

La recette originale indiquait de la fécule de pomme de terre et de la farine de riz brun, j‘ai utilisé de la farine de riz blanc et de la fécule de maïs à la place et le résultat était excellent.

La préparation doit reposer au minimum 1 h au frais mais peut aussi être préparée la veille.

Pour les tomates rôties

• 1 kg de tomates cerises ou de petites tomates italiennes coupées en deux
• 120 ml d’huile d’olive extra vierge
• 2 c. à café de sucre
• 2 c. à café de feuilles d’origan frais
• 1 brin de thym frais
• 1 c. à café de sel de mer (ou fleur de sel)

Préparer les gnudi, dans un bol, mélanger la Ricotta, le Parmesan, l’oeuf, le sel et la noix de muscade. Ajouter la farine de riz et 55 g de fécule de maïs. Ajouter progressivement plus de fécule de maïs si le mélange semble trop humide. La pâte ne doit pas être trop sèche et se tenir dans une cuillère.
Saupoudrer un plaque de cuisson (ou un plat) de farine de riz.
À l’aide de 2 cuillères former les gnudi et les déposer sur la plaque farinée. Recouvrir d’un film plastique ou d’un torchon propre et laisser reposer au frais 1 h. à 24 h.

Pour préparer les tomates, préchauffer le four à 160˚C.
Dans un bol, mélanger tous les ingrédients puis les déposer sur un pâque de cuisson. Cuire environ 1 h ou jusqu’à ce que les tomates soient légèrement caramélisées.
Les tomates peuvent se conserver jusqu’à 5 jours au réfrigérateur.

Pour cuire les gnudi, remplir une grande casserole d’eau et porter à ébullition. Réduire le feu et déposer délicatement les gnudi dans l’eau. Lorsque les gnudi remontent à la surface laisser cuire encore 2-3 minutes puis sortir de l’eau à l’aide d’une écumoire.
Servir avec les tomates rôties et quelques copeaux de Parmesan.

images : n.v. quelques-choses

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Douces empanadas

Peu de recettes ces derniers temps par ici, pourtant cette petite version d’empanadas était prête à être partagée depuis un bon moment déjà. Pourquoi avoir attendu qu’il n’y ait presque plus aucune feuilles sur des arbres et que Noël pointe le bout de son nez pour le faire alors que je m’étais dit que ces petits chaussons pleins de douceur seraient parfaits pour le lunchs de la rentrée? Je ne suis pas sûre. C’est peut être la faute au flou imperceptible qui s’est installé doucement entre les journées de travail et les week ends qui se suivent à la fois différents et tellement semblables depuis quelques mois, ou peut être un léger manque de motivation, ou encore une bonne dose de procrastination, ou certainement un mélange de tout ça… Toujours est il que cette fois, j’aurai pris plus que mon temps pour partager ces mini délices. Oui oui, des délices (je ne pèse plus mes mots) que je ne fais d’ailleurs pas assez souvent à mon goût.

D’abord, il y a ce nom empanadas. Je ne sais pas ce que le mot vous évoque, mais moi, ça me donne des envies de voyage au Mexique, des envies de long trajet en bus, de chaleur, de couleurs, de découverte de sites mayas, de plage à l’eau turquoise… Bref, j’entends presque les mariachis roucouler à mes oreilles. Et puis ce format pratique et ludique de chausson, moi j’adore.
Autant le dire tout de suite, cette recette là n’est pas super épicée comme on pourrait le croire. Elle est toute douce avec ses raisins secs et ses pignons. C’est d’ailleurs peut être cette douceur qui fait qu’on l’aime à l’unanimité chez nous.

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La recette originale de la pâte était faite avec de l’huile végétale neutre, mais comme je préfère l’huile d’olive et que je n’ai d’ailleurs pas d’autre huile chez moi, c’est ce que j’utilise, mais libre vous d’utiliser autre chose pour un goût un peu moins prononcé. Quant aux pignons, vu leur prix souvent prohibitif, je les remplace très souvent par des noisettes ou un mélange de noisettes et d’amandes hachées grossièrement, c’est tout aussi bon. Et puis si cette version sucrée-salée vous semble trop douce, pas de problème, il suffit d’ajouter un peu de piment à la farce ou simplement de la manger accompagnée d’une petite sauce piquante. Je vois déjà la moustache sortir la Cholula du placard.

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Empanadas au boeuf, tomates, pignons et raisins secs

la pâte

• 350 g de farine
• 170 ml d’huile d’olive (ou 100 ml d’huile neutre + 70 ml d’huile d’olive)
• 1 oeuf
• 50 ml de lait
• 50 ml d’eau tiède
• 5 g de sel

La farce

• 500 g de boeuf haché
• 3 belles tomates
• 1 oignon ciselé
• 75 g de pignons (ou noisettes)
• 50 g de raisins secs blonds
• 2 c. à soupe d’uile d’olive
• sel et poivre
• 1 oeuf pour dorer

Mélanger la farine et le sel puis ajouter les huiles et l’oeuf.
Travailler la pâte et incorporer délicatement l’eau et le lait. Laisser reposer 1h.
Laver, sécher et couper les tomates en cubes.
Faire revenir les oignons dans l’huile d’olive puis ajouter la viande et faire revenir rapidement.
Incorporer les tomates et cuire à feu doux 15 min. Ajouter les pignons et les raisins secs, saler et poivrer.
Étaler finement la pâte et découper des cercles d’environ 15 cm de diamètre.
Répartir la farce sur la moitié de chaque disque et refermer les empanadas en pinçant pour souder.
Dorer à l’oeuf. Cuire une vingtaine de minutes. Manger chaud ou froid.

On peut ajouter un peu de piment pour une version plus relevée.

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Mousse au chocolat à l'Aquafaba

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Aquafaba, un son exotique, un mot qui pourrait désigner une danse ou un fruit brésilien, en tout cas une façon assez sexy de nommer l’eau de légumineuse. Parce que oui, l’Aquafaba n’est rien d’autre que de l’eau de pois chiches, ou d’autres légumineuse, qui peut être utiliser en remplacement des oeufs dans certaines recettes pour en faire des versions végétaliennes comme cette délicieuse petite mousse au chocolat.
J’avoue, ça m’aura pris un peu de temps pour me lancer, probablement parce que même si j’étais très curieuse de goûter de cette mousse chocolatée, l’association pois chiches et problèmes gastriques était toujours là en arrière pensée. Ne me dites pas que vous n’y pensez pas gaz chaque fois que vous devez cuisiner des pois chiche. C’est un peu comme pour certains choux, on adore, mais on redoute les effets secondaires.

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Donc une fois les préjugées et les craintes passés, cette recette tout ce qu’il y a de plus facile a été une vraie révélation. MAIS POURQUOI!! Pourquoi je n’ai pas essayé plus tôt!
Vous l’aurez compris, je ne vais pas m’attarder des heures, ça a été un succès total, du moins en ce qui me concerne. La moustache lui préfère toujours la version classique avec oeufs. C’est d’ailleurs devenu ma version préférée de la mousse au chocolat. Une mousse légère, gourmande, sans arrière goût et surtout beaucoup moins écoeurant que ce que peut l’être quelque fois la version classique. Et puis en ce qui concerne les éventuels effets secondaires, je dois dire qu’il n’y en eu aucun.
Alors à bas les préjugés, vive la mousse au chocolat l’Aquafaba!

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Mousse au chocolat à l’aquafaba

• 50 g de chocolat noir 70%
• 60 ml d’aquafaba à température ambiante (la valeur de l’eau d’une boite de conserve de gr)
• quelques gouttes de citron (ou de vinaigre de cidre)
• 1 c. à soupe de sucre

Faire fondre le chocolat au bain-marie e laisser tiédir
Battre l’eau de pois chiche au fouet électrique pendant 3 min. environ, ajouter le jus de citron puis continuer à battre encore 5 minutes jusqu’à ce que le mélange soit bien mousseux. Ajouter le sucre et continuer de fouetter jusqu’à ce que la mousse soit compacte.
Incorporer délicatement le chocolat fondu.
Mettre au frais au moins 1h.

images : n.v. quelques-choses
Merci à Emma d’avoir servi de modèle:)

Pain cannelle et raisins

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Et oui, moi aussi comme beaucoup ces dernières semaines/mois, j’ai succombé à la folie du pain maison. C’est fou comme l’envie de pain de faire du pain s’est répandue rapidement. Une envie de se faire du bien, un besoin de quelque chose de simple et satisfaisant. Peut être aussi celui de savoir que l’on est capable de faire avec peu, de retrouver un certain savoir-faire. Besoin d’un retour aux sources, à l’essentiel...
En ce qui me concerne, arriver à faire du pain relève toujours un peu de la magie. Il y a toujours une effet de surprise et d’émerveillement face au résultat final.

Donc, comme beaucoup aussi, j’ai ressorti la super recette de pain cocotte sans pétrissage quasi inratable qui avait déjà envahi internet il y a quelques années. J’ai même fait une tentative de levain. On passera rapidement sur l’expérience levain qui a été un ratage total et que j’ai laissé de côté pour l’instant. Je ne m’avoue pas vaincu pour autant, je re-tenterai certainement l’expérience plus tard, mais pour l’instant, je vais me concentrer sur la maitrise du pain cocotte.

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Après plusieurs fois à refaire la recette de pain blanc de base, l’envie de me lancer un peu et de varier les goûts est arrivée. Le choix était facile, le pain raisin-cannelle fait partie de mes pains fantaisies préférés, il s’est donc imposé tout seul.
Quelques petits recherches, un premier essai plus tard et voilà, coup de coeur absolu pour la version maison de ce pain gourmand. Les raisins légèrement brûlés à l’extérieur alors que ceux à l’intérieur restent humides et tendres, les épices qui donnent une couleur un peur rustique à la mie et une odeur incroyable à la maison pendant la cuisson… Autant dire qu’il a fallu se faire violence pour résister à l’envie de le dévorer au complet à peine sorti du four et qu’on a du faire une deuxième fournée très rapidement.
Un “pain du dimanche” délicieux avec du fromage, à tomber tartiné de fromage à la crème, mais que je préfère encore tout nu.

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Et comme un essai réussi en appelle souvent un autre, on a déjà réfléchi à la prochaine variation de ce pain cocotte. Suggestion de l’enfant n°2, le mariage figues et noisettes. Ça devrait être pas mal aussi.
Tut ça pour dire qu’on n’en a pas encore fini avec le pain maison chez nous.

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Pain cannelle et raisins

• 1 cocotte en fonte de préférence
• 1 grande casserole avec couverte

• 450 g de farine
• 1 c. à café levure de boulanger sèche (levure sèche active*)
ou 15 g de levure fraiche
• 1 c. à café de sucre
• 1.5 c. à café de sel
• 3 .c à soupe de cassonade
• 1c. à soupe de cannelle moulue
• 1/2 c. à café de gingembre moulu
• 2 pincées de clou de girofle moulu (optionnel)
• 150 g de raisins secs (Sultna)
• 430 ml d’eau tiède
• 50 g de farine pour enrober

Préparer la pâte la veille

Diluer la levure avec la cuillère à café de sucre dans la moitié de l’eau et attendre 5-10 min. Le mélange va mousser.
Dans une grande casserole avec couvercle mélanger tous les ingrédients secs. Ajouter l’eau et la levure diluée et mélanger jusqu’à ce la farine soit complètement humidifiée.
Couvrir et laisser reposer 12h ou toute la nuit.

Préchauffer le four à 235°C.
Mettre les 50 g de farine dans un bol et réserver.
Faire dégonfler la pâte directement dans la casserole en la rabattant sur elle même au moins 6 fois.
Former une boule (c’est une peu mou et collant), la déposer dans le bol et l’enrober avec la farine. Couvrir d’un linge te laisser reposer 30 min.
Placer la grille en bas du four et mettre la cocotte vide fermée à chauffer pendant 30 min.
Déposer la boule de pâte farinée gonflée sur un papier cuisson puis dans la cocottte ou directement dans la cocotte. Faire des entaille sur le dessus à l’aide d’un couteau ou d’une la me de rasoir, mettre le couvercle et cuire 30 min. puis retirer le couvercle et poursuivre la cuisson encore 30 min.
Sortir le pain de la cocotte et laisser tiédir sur une grille.

* levure type Fleichmann’s traditionnelle

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Les Rochers coco

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Ah ces petits rochers coco! Ils font partie de ces recettes super satisfaisantes à faire parce qu’elles ne nécessitent que très peu d’ingrédients, se réalisent en un clin d’oeil et permettent d’utiliser les blancs d’oeufs dont on ne sait pas toujours quoi faire. Parce que oui, pour moi, les blanc d’oeufs dont on ne sait pas quoi faire c’est un vrai problème.

Je m’explique. C’est vrai que j’aime faire des brioches mais je déteste quand je dois n’utiliser qu’une partie d’un oeuf dans une recette, parce que ça veut dire que l’autre à de grandes chances d’être gaspillée pour ne pas dire d’être jetée. Enfin quoi, c’est quand même frustrant non de devoir casser un oeuf pour en utiliser seulement le jaune quand on veut dorer une brioche ou quand on sait qu’il va falloir 2 jaunes pour faire des cannelés et que les blancs vont se retrouver orphelins. On me dira que l’on peut utiliser un oeuf entier pour dorer ses viennoiseries, je le fais d’ailleurs quelques fois même si je préfère utiliser seulement le jaune avec un peu de lait mais quelques fois on n’a pas le choix, on ne peut pas tricher et les blancs se retrouvent abandonnés.

Bien sûr, il y a toujours les meringues, le blanc d’oeuf est le premier des 2 seuls ingrédients de la recette, c’est facile, on aime ça. Mais bon, ça demande du temps et on n’a pas toujours envie de manger 32 mini meringues simplement pour passer un blanc d’oeuf. Du coup, je me suis fait une petite liste de recettes complémentaires, des recettes pour lesquelles on n’a seulement besoin du jaune ou du blanc de l’oeuf.

Pour les jaunes d’oeufs, même si il parait que l’on peut les garder plusieurs jours au frais recouverts d’eau froide (j’avoue que je n’ai jamais testé) c’est simple, je m’arrange toujours pour préparer tout de suite une recette de biscuits, comme celle des sablés chocolat-olives noires par exemple, quitte à congeler la pâte pour la cuire plus tard ou bien j’ajoute simplement le jaune à une omelette.
Mais je dois dire que ce sont plus souvent les blancs d’oeuf qui restent de côté.
Heureusement, avec les blancs c’est plus facile de prendre son temps. Quand une recette ne nécessite que le jaune des oeufs et que je ne vais pas utiliser les blancs tout de suite, je les mets simplement le plus rapidement possible dans un petit bocal bien propre au réfrigérateur. Les blancs d’oeuf peuvent être conservés jusqu’à un mois comme ça au réfrigérateur, mais attention, ils doivent absolument être cuits par la suite, donc pas de mousse au chocolat avec ces blancs là. On peut aussi congeler les blancs d’oeufs, mais personnellement, je n’ai jamais essayé, ils disparaissent toujours assez rapidement de mon frigo. Un dernier petit truc utile à savoir quand on conserve plusieurs blancs d’oeuf dans un même bocal un blanc d’oeuf pèse en moyenne 30 g.

Pour en revenir à nos petit rochers coco, la prochaine fois que vous aurez des blancs d’oeufs dont vous ne saurez pas quoi faire, pensez à eux. Même si vous n’avez qu’un seul blanc d’oeuf, ça marche, il suffit simplement le reste de ingrédients par 2. Et si on veut une version encore plus gourmande un peu comme un Bounty maison, on peut toujours les tremper ou de les recouvrir complètement de chocolat fondu.

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les Rochers coco

• 2 blancs d’oeuf (environ 70 g)
• 100 g de noix de coco râpée
• 70 g de sucre
• 1 c. à café d’extrait de vanille

Préchaffer le four à 210°C.
Mélanger rapidement tous les ingrédients.
Déposer des petits tas de préparations sur une plaque recouverte de papier cuisson (ou Silpat).
cuire jusqu’à ce que les bords soient dorés.

images : n.v. quelques-choses

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